Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Mise à disposition du contenu de mes pages selon les termes de la «Licence Creative Commons Attribution» *** Pas d´Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) *** *** NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) ***
Veuillez cliquer ici pour accéder à mon RSS FEED
Veuillez cliquer ici pour m´envoyer un message avec vos remarques!
Haut de page
Retour sur la page d´accueil de mon site - OUVRE UNE NOUVELLE FENÊTRE)

Wolfgang Amadeus MOZART
Concerto pour piano no 13, KV 415 (387b)
Artur BALSAM
Orchestre Symphonique Concert Hall
Henry SWOBODA, 1949

Traduit du texte publié au verso de la pochette du disque Concert Hall CHS 1116:

«« Le Concerto No 13 pour piano et orchestre en ut majeur, KV 415, est l'une des trois oeuvres de cette forme composées par Mozart au cours de l'automne et de l'hiver 1782, immédiatement après son mariage avec Constanze Weber. «Ces concertos sont un juste milieu entre ce qui est trop facile et ce qui est trop difficile», écrivit Mozart à son père. «Ils sont très brillants, agréables à l'oreille et naturels sans être insipides. Il y a ici et là des passages dont seuls les connaisseurs peuvent tirer satisfaction; mais ces passa­ges sont écrits de telle manière que les moins savants ne peuvent manquer d'être satisfaits, sans savoir pourquoi.»

En termes de dimensions orchestrales, le KV 415 est le plus ambitieux des trois con­cer­tos (KV 413, 414 et 415). Il est écrit pour deux hautbois, deux bassons, deux cors, deux trompettes, deux timbales et des cordes.

Le premier mouvement, un Allegro, s'ouvre sur le thème annoncé par le tutti (l'en­sem­ble de l'orchestre), après quoi le piano entre en scène. Il est d'humeur gaie, d'un large attrait mélodique et intéressant pour son contrepoint imbriqué qui apparaît dans la sec­tion du développement.

Le second mouvement, Andante, est très lyrique et témoigne de l'instinct bien déve­loppé de Mozart pour obtenir des couleurs sonores chaudes et distinctes. Ici, les instru­ments à vent, l'orchestre et le piano rivalisent pour présenter le sujet principal.

Le finale du concerto est un mouvement léger et rapide de forme rondo, inhabituel en raison des deux points où Mozart interpole de brefs passages adagio dans le mode mineur. C'est l'un des rares cas dans la littérature concertante où l'inclusion d'un mou­ve­ment lent profondément expressif dans le cadre d'un mouvement rapide brillant est réalisée avec efficacité. »»

Voir cette page de mon site pour une introduction un peu plus détaillée.

Artur BALSAM, piano, et un ensemble nommé «Concert Hall Symphony Orchestra», le tout sous la direction de Henry SWOBODA, enregistrèrent ce concerto en 1949 pour le label Concert Hall Society - selon la discographie de Michael GRAY entre juin et no­vem­bre 1949. Il fut d'abord publié sur 78 tours - Concert Hall CH-C8 - puis peu après réédité sur deux disques 33 tours, le vinyle rouge Concert Hall CHC 31 et le Concert Hall CHS 1116 - dont provient cette restauration:

   1. Allegro              10:01 (-> 10:01)
   2. Andante              07:23 (-> 17:24)
   3. Allegro              07:47 (-> 25:11)

Provenance: Concert Hall Society CHS 1116

Vous pouvez obtenir cet enregistrement


3 fichier(s) FLAC et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP


En écoute comme fichier mp3 320 kbps

1. Allegro


2. Andante


3. Allegro