Michel Richard DELALANDE, gravure de Henri Simon THOMASSIN
d'après un tableau de Jean-Baptiste Santerre
Mais ce manque de détails n'empêche pas de savourer cette musique, d'autant plus que les pièces des différentes symphonies n'ont aucun lien particulier entre elles: elles ne sont “liées” que par le fait que le tout devait plaire au Roi.
Michel-Richard Delalande, Symphonies pour les soupers du Roy (éd. Roger Désormière), Orchestre des Concerts Lamoureux, Pierre Colombo, 1954