Cette symphonie appartient au 2e groupe des symphonies de Joseph Haydn tel que défini par James WEBSTER en 1990:
Extrait de la chronologie établie par James WEBSTER en 1990.
Ce second groupe comprend des symphonies composées entre environ 1760 et 1763, période transitoire entre la cour du Conte Morzin et celle d’Esterhazy, où Haydn arriva en 1761. Leurs sources et leur style sont plus variés que ceux des oeuvres du premier groupe, il est toutefois possible que certaines d’entre elles aient été écrites pour le Comte Morzin.
"[...] Dies ist eine von zwei festlichen „C-Dur“-Symphonien der vorliegenden Serie. Wie bei vielen derartigen Werken steht das einleitende Allegro molto im ungebräuchlichen, eigentlich eher für Finali üblichen 2/4-"Finaltakt"; es ist von der Form her geordneter und "berechenbarer" als die meisten sinfonischen Allegro-Sätze von Haydn.
Der langsame Satz ist in ungewöhnlichem "Serenadenstil" gehalten und Andante cantabile alla breve bezeichnet; er hat eine einheitliche Struktur (regelmässige melodische Phrasen, Viertelbegleitung und Pizzicato-Bass) und erst gegen Ende jeder Hälfte wird er leicht verbreitert und beschleunigt. Um es mit Tovey zu sagen: An diesem Satz ist nichts auszusetzen, aber man ist dankbar, dass sich Haydn dieses Stils nicht so oft bedient hat.
Das Menuett, das mit einem Auftakt einsetzt, legt ein für diese Schaffensperiode relativ schnelles Tempo nahe; das Trio steht in der Subdominante. Das Finale, wieder ein Presto im 3/8-Takt, ist ein erstaunlich langes Dacapo-Gefüge von 244 Takten (allerdings mit ausgeschriebenen Wiederholungen); ungewöhnlich ist auch, dass die Abschnitte "A" und "B" (in Moll) Sonatensätze in Miniatur bilden, einschliesslich ganz kurzer "Durchführungen" [...]"
Cité des notes plus anciennes de H. C. ROBBINS LANDON publiées au verso de la pochette de ce disque Columbia Odyssey 32 16 0342:
Après avoir fondé sa propre maison de disques, la «Library of Recorded Masterpieces» (LRM), Max GOBERMAN se lança en 1959 dans un projet ambitieux, l’enregistrement en stéréophonie de l’intégrale des symphonies de Joseph Haydn avec l'Orchestre de l'Opéra d'État de Vienne dans une formation très réduite, conforme aux oeuvres d'origine de Haydn mais n’utilisant pas d'instruments anciens. Les disques furent vendus seulement par souscription, comme pour - par exemple - le bien connu label Concert Hall / Musical Masterpiece Society.
Voir au bas de cette page pour une présentation de cette intégrale publiée le 16 septembre 1962 dans le quotidien Santa Fe New Mexican en pages 3 et 12.
Malheureusement, ce projet Haydn fut interrompu brutalement par le décès prématuré de Max Goberman - suite à une crise cardiaque à Vienne le 31 décembre 1962: pendant ces trois dernières années de sa vie, il put toutefois enregistrer presque la moitié des symphonies de Haydn - à côté d'oeuvres d'autres compositeurs, notamment Vivaldi, Corelli et Boyce, enregistrées avec son orchestre «New York Sinfonietta».
Voici donc...
Joseph Haydn, Symphonie No 20 en do majeur, Orchestre de l'Opéra d'État de Vienne, Max Goberman