Étiquette recto de l'édition française du disque Westminster WST-17046
L'un des rares disque que Theresa STICH-RANDALL et Laszlo SOMOGYI réalisèrent ensemble, le fut pour le label WESTMINSTER - enregistré du 19 au 21 juin 1963 dans la Salle Mozart du Konzerthaus de Vienne et consacré à des extraits d'opéras de Wolfgang Amadeus Mozart:
1ère plage: Don Giovanni, KV 527, scène 13 du 1er acte «Don Ottavio, son morta!», No.10 «Or sai chi l’onore» (avec Friedrich D. Graupe, ténor)
"[...] Donna Anna has just recognized the Don as the assailant who forced his way into her bed-chamber and then killed her father who rushed to her defense when she raised a hue and cry. In the preceding dialogue Donna Anna has disclosed her identification of the miscreant to her fiancé. Don Ottavio, whose sigh of "Ohime! respiro!" on hearing from his betrothed’s own lips that she was not actually violated must surely rank as one of the great understatements in all opera. [...]" (*)
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DONNA ANNA
Don Ottavio, son morta!
Don Ottavio, je suis morte!
DON OTTAVIO
Cosa è stato?
Qu’est-il arrivé?
DONNA ANNA
Per pietà, soccorretemi!
Par pitié, secourez-moi.
DON OTTAVIO
Mio bene…
Fate coraggio!
Ma bien-aimée…
Courage!
DONNA ANNA
Oh Dei! quegli è il carnefi ce
Del padre mio…
Ô dieux! C’est lui le meurtrier
De mon père…
DON OTTAVIO
Che dite…
Que dites-vous?
DONNA ANNA
Non dubitate più: gli ultimi accenti,
Che l’empio proferì, tutta la voce
Richiamâr nel cor mio di quell’indegno
Che nel mio appartamento…
N’en doutez plus: les derniers accents
Que l’impie a proférés rappelèrent en mon coeur
Toute la voix de cet indigne
Qui dans mon appartement…
DON OTTAVIO
Oh ciel! possibile
Che sotto il sacro manto d’amicizia…
Ma come fu, narratemi
Lo strano avvenimento.
Ô ciel! se peut-il
Que sous le manteau sacré de l’amitié…
Mais comment cela arriva-t-il, faites-moi le récit
De cet étrange événement.
DONNA ANNA
Era già alquanto
Avanzata la notte,
Quando nelle mie stanze, ove soletta
Mi trovai per sventura, entrar io vidi
In un mantello avvolto
Un uom che al primo istante
Avea preso per voi;
Ma riconobbi poi
Che un inganno era il mio…
La nuit était déjà
Assez avancée,
Lorsque dans mes appartements, où toute seule
Pour mon malheur je me trouvais, je vis entrer,
Enveloppé dans un manteau,
Un homme qu’au premier instant
J’avais pris pour vous;
Mais je reconnus ensuite
Que je m’étais méprise…
DON OTTAVIO (con affanno)
Stelle! seguite.
Ciel! poursuivez.
DONNA ANNA
Tacito a me s’appressa,
E mi vuol abbracciar; sciogliermi cerco,
Ei più mi stringe; grido:
Non viene alcun. Con una mano cerca
D’impedire la voce
E coll’altra m’afferra
Stretta così, che già mi credo vinta.
Sans un mot il s’approche de moi
Et veut m’enlacer; je tente de me dégager,
Il m’étreint davantage; je crie:
Personne ne vient. D’une main il tente
De m’empêcher de crier,
Et de l’autre il me tient
Si étroitement que déjà je me crois vaincue.
DON OTTAVIO
Perfido! E alfin?
Le perfide! et enfin?
DONNA ANNA
Al fine il duol, l’orrore
Dell’infame attentato
Accrebbe sì la lena mia, che a forza
Di svincolarmi, torcermi e piegarmi
Da lui mi sciolsi.
Enfin la douleur, l’horreur
D’un aussi infâme attentat,
Accrurent tellement mon énergie qu’à force
De me dégager, de me tordre et de me ployer,
Je me libérai de lui.
DON OTTAVIO
Ohimè respiro!
Hélas, je respire!
DONNA ANNA
Allora
Rinforzo i stridi miei, chiamo soccorso:
Fugge il fellon. Arditamente il seguo
Fin nella strada per fermarlo, e sono
Assalitrice d’assalita; il padre
V’accorre, vuol conoscerlo, e l’iniquo,
Che del povero vecchio era più forte,
Compie il misfatto suo col dargli morte.
Alors
Je redouble mes cris, j’appelle au secours;
Le félon s’enfuit. Hardiment je le poursuis
Jusque dans la rue pour l’arrêter, et d’assaillie
Je deviens assaillante; mon père
Accourt, veut le reconnaître, et l’inique,
Qui était plus fort que le malheureux vieillard,
Accomplit son forfait en lui donnant la mort.
Aria
Or sai chi l’onore
Rapire a me volse,
Chi fu il traditore,
Che il padre mi tolse:
Vendetta ti chieggio,
La chiede il tuo cor.
Rammenta la piaga
Del misero seno,
Rimira di sangue
Coperto il terreno,
Se l’ira in te langue
D’un giusto furor.
(Parte.)
Tu sais à présent
Qui voulut attenter à mon honneur,
Qui fut le traître
Qui m’enleva mon père:
Je te demande vengeance,
Ton coeur la réclame.
Rappelle-toi la plaie
De sa malheureuse poitrine,
Revois de sang
Le sol recouvert,
Si en toi languit le feu
D’une juste fureur.
2e plage: Don Giovanni, KV 527, scène 12 du 2e acte «Crudele! Ah no, mio ben», No. 23 «Non mi dir, bell’idol mio»
"[...] Following the scene in which Don Giovanni and Leporello come upon the statue of Il Commendatore in the graveyard and the Don invites him for dinner, the scene shifts back to Donna Anna and Don Ottavio. The latter assures his betrothed that her father's murder will soon be avenged and that in the interim (a mere matter of 15 minutes before the banquet scene ) he is willing to console with his hand , his heart, and his tender love . It is an open question whether Donna Anna refuses him because of his maladresse as a lover, because she is still fixated on her father, or because she would really have preferred Don Giovanni. However, when Don Ottavio charges her with being cruel, she puts him off with dignity: [...]" (*)
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Crudele! Ah no, mio ben,
Troppo mi spiace
Allontanarti un ben che lungamente
La nostra alma desia… ma il mondo…
oddio…
Non sedur la mia costanza
Del sensibil mio core!
Abbastanza per te mi parla amore.
Cruelle! Ah non! mon bien-aimé,
Il me déplaît trop
De différer pour toi un bonheur que depuis
longtemps notre âme désire… Mais le
monde… oh Dieu!…
Ne séduis pas la constance
De mon sensible coeur!
L’amour me parle assez en ta faveur.
Rondò
Non mi dir, bell’idol mio,
Che son io crudel con te;
Tu ben sai quant’io t’amai,
Tu conosci la mia fé.
Calma calma il tuo tormento,
Se di duol non vuoi ch’io mora;
Forse un giorno il cielo ancora
Sentirà pietà di me.
(Parte.)
Ne me dis pas, mon bel amour,
Que je suis cruelle envers toi;
Tu sais que je t’ai toujours aimé,
Tu connais ma constance.
Calme, calme ton tourment,
Si tu ne veux pas que de douleur je meure;
Peut-être un jour le ciel lui aussi
Aura pitié de moi.
3e plage: Le nozze di Figaro, KV 492, scène 1 de l'acte 2 «Porgi, amor, qualche ristoro», No. 11 Cavatina «Porgi, amor qualche ristoro»
"[...] La Comtesse apparaît pour la première fois sur scène dans ce début de deuxième acte. La douceur et la retenue sont les expressions qui dominent dans cette cavatine. Le thème évoqué est celui de l’amour blessé et Mozart cherche par l’instrumentation à exprimer cette douleur: la clarinette est liée au basson, les cors apportent la rondeur du son des vents, et les cordes conjuguent la mélodie et l’accompagnement. Dans ce larghetto à deux temps en mi bémol majeur, l’introduction d’une dizaine de mesures présente la mélodie aux violons. Cette phrase initiale sera ensuite reprise par la Comtesse: «Porgi amor qualche ristoro al mio duolo, a miei sospir». La transition dans la deuxième partie du texte se fait par les deux clarinettes et les deux bassons pour arriver sur le point d’orgue qui met en relief le mot «morir», point culminant de cet air. Le texte est repris une dernière fois en insistant toujours sur ce même mot et l’ensemble offre une conclusion par l’orchestre. [...]" cité de ce fichier pdf du site de l'Opéra de Lille.
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Porgi, amor, qualche ristoro
al mio duolo, a' miei sospir.
O mi rendi il mio tesoro,
o mi lascia almen morir.
Amour, apporte quelque apaisement
À ma douleur, à mes soupirs;
Rends-moi mon amour
Ou laisse-moi mourir.
4e plage: Le nozze di Figaro, KV 492, scène 8 du 3e acte «E Susanna non vien! Sono ansiosa», No. 20 «Dove sono i bei momenti»
"[...] Having plotted with Susanna to deceive the Count by exchanging costumes, the Countess is nervous that her scheme may miscarry. She also deplores the ignominy of having to involve a maidservant in a ruse to attract her husband’s affection. Then, much in the mood of Porgi amor, she recollects the moments of pleasure in her early love and sadly meditates on her present unhappy plight. [...]" (*)
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E Susanna non vien! Sono ansiosa
di saper come il Conte
accolse la proposta. Alquanto ardito
il progetto mi par, e ad uno sposo
sì vivace, e geloso!
Ma che mal c'è? Cangiando i miei vestiti
con quelli di Susanna, e i suoi co' miei...
al favor della notte... oh cielo, a quale
umil stato fatale io son ridotta
da un consorte crudel, che dopo avermi
con un misto inaudito
d'infedeltà, di gelosia, di sdegni,
prima amata, indi offesa, e alfin tradita,
fammi or cercar da una mia serva aita!
Et Susanna qui ne revient pas! J'ai hâte de
savoir comment le Comte a pris la chose!
Que mon projet me semble donc hardi! Avec
un époux aussi vif et jaloux!
Mais, quel mal y a-t-il? En changeant de vêtements avec
Susanna à la faveur de l'obscurité… Oh, ciel!
À quel humble état suis-je réduite par cet
époux cruel qui, après m'avoir, avec un mélange inouï
d'infidélité, de jalousie et de mépris, d'abord aimée,
puis outragée et finalement trahie, m'oblige désormais
à rechercher l'appui de ma suivante!
Dove sono i bei momenti
di dolcezza e di piacer,
dove andaro i giuramenti
di quel labbro menzogner?
Perché mai se in pianti e in pene
per me tutto si cangiò,
la memoria di quel bene
dal mio sen non trapassò?
Ah! Se almen la mia costanza
nel languire amando ognor,
mi portasse una speranza
di cangiar l'ingrato cor.
Où s'en sont-ils allés, les beaux instants
de douceur et de plaisir?
Où sont partis les serments
de cette bouche mensongère?
Pourquoi donc, si en pleurs et en chagrin
tout s'est transformé pour moi,
le souvenir de mon bonheur
ne s'est-il pas effacé de mon coeur?
Ah! si du moins ma constance
qui me fait languir, toujours amoureuse,
m'apportait la moindre espérance
de changer ce coeur ingrat!
5e plage: Cosi fan tutte, KV 588, scène 11 du 1er acte «Temerari, sortite fuori di questo loco», No. 14 «Come scoglio immoto resta»
"[...] Fiordiligi’s large scale recitative and aria occur after Ferrando and Guglielmo have returned disguised as Albanians. They propose amorous dalliance to Fiordiligi and Dorabella in order to console them for the loss of their two lovers who have gone off to join their regiments. With florid roulades and bravura leaps. Fiordiligi spurns their advances with the tried and true “never darken my door again" routine. [...]" (*)
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FIORDILIGI
Temerari, sortite fuori di questo loco,
Despina esce impaurita
e non profani l'alito infausto degli infami detti
Nostro cor, nostro orecchio e nostri affetti!
Invan per voi, per gli altri invan
si cerca le nostr'alme sedur.
L'intatta fede
Che per noi già si diede
ai cari amanti,
Saprem loro serbar infino a morte,
A dispetto del mondo e della sorte.
Téméraires! Sortez de ces lieux!
Et que le souffle funeste de vos infâmes propos ne profane
notre coeur, nos oreilles ni nos sentiments!
C’est en vain pour vous, pour les autres, en vain que l’on
cherche
à séduire nos âmes;
la foi intacte qui par nous a déjà été donnée
à nos chers amants,
nous saurons la garder jusqu’au trépas
Et en dépit du monde et du sort.
Come scoglio immoto resta
contro i venti e la tempesta,
così ognor quest'alma è forte
nella fede e nell'amor.
Con noi nacque quella face
che ci piace e ci consola;
e potrà la morte sola
far che cangi affetto il cor.
Rispettate, anime ingrate,
questo esempio di costanza;
e una barbara speranza
non vi renda audaci ancor.
Comme un roc demeure immobile
contre les vents et la tempête,
ainsi pour toujours cette âme est forte
dans sa fidélité et son amour.
Avec nous naquit cette flamme
qui nous est chère et qui nous console
et la mort seule pourra
faire changer notre coeur de sentiment.
Respectez, âmes ingrates,
cet exemple de constance
et que jamais plus un barbare espoir
ne vous rende audacieux.
6e plage: Cosi fan tutte, KV 588, scène 7 du 2e acte «Ei parte…senti!» No. 25 «Per pietà, ben mio, perdona»
"[...] Fiordiligi's recitative and aria here are no less impressive than Come scoglio . After much rationalization, abetted by their maid, Despina, and by the all-knowing Don Alfonso, Fiordiligi and Dorabella indulged in an amorous flirtation with the two “Albanians", who then proceeded to unmask themselves and reveal themselves as Ferrando and Guglielmo. The former makes a pretended exit and Fiordiligi remorsefully laments his loss and begs for forgiveness, q.v.: [...]" (*)
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Recitative
Ei parte…senti!…Ah no. Partir si lasci,
Si tolga ai sguardi miei l’infausto oggetto
Della mia debolezza…A qual cimento
Il barbaro mi pose!…Un premio è questo
Ben dovuto a mie colpe…
In tale istante
Dovea di nuovo amante
I sospiri ascoltar? L’altrui querele
Dovea volger in gioco? Ah, questo core
A ragione condanni, o giusto amore!
Io ardo e l’ardor mio non è più effetto
Di un amor virtuoso; è smania, affanno,
Rimorso, pentimento,
Leggerezza, perfidia e tradimento!
Rondo
Per pietà, ben mio, perdona
all'error d'un'alma amante:
fra quest'ombre e queste piante
sempre ascoso, oh, dio, sarà!
Svenerà quest'empia voglia
l'ardir mio, la mia costanza.
Perderà la rimembranza
che vergogna e orror mi fa.
A chi mai mancò di fede
questo vano, ingrato cor!
Si dovea miglior mercede,
caro bene, al tuo candor.
Par pitié, mon amour, pardonne
la faute d’une âme qui t’aime;
oh, Dieu, qu’elle reste à jamais cachée,
sous ces ombrages, parmi ces arbres.
Mon ardeur, ma constance
étoufferont ce vil désir,
elles détruiront un souvenir
qui me fait honte et horreur.
De quel homme ce coeur vain et ingrat
a-t-il trahi la foi?
Ta pureté, mon cher amour,
méritait un meilleur sort.
7e plage: Die Zauberflöte, KV 620, Air no 17 du 1er acte «Ach, ich fühl's, es ist verschwunden»
"[...] As Tamino and Papageno are undergoing the Masonic initiation and are pledged to silence, Pamina misconstrues her lover's silent disregard and believes that she has lost him. She sings the following poignant aria: [...]" (*)
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Ach, ich fühl’s, es ist verschwunden!
ewig hin der Liebe Glück!
Nimmer kommt ihr Wonnestunden
meinem Herzen mehr zurück!
Sieh Tamino! diese Tränen
fließen Trauter dir allein,
fühlst du nicht der Liebe Sehnen
so wird Ruh’ im Tode sein!
Ah, je le sens, tout a disparu,
Le bonheur de l’amour est perdu!
Jamais plus, instants de bonheur,
vous ne reviendrez en mon coeur!
Vois, Tamino: ces larmes,
coulent pour toi seul, mon bien-aimé;
si tu ne réponds pas à mon désespoir
alors je trouverai la paix dans la mort!
(*) cité du verso de la pochette du disque Westminster WST-17046
Recto de la pochette du disque Westminster WST-17046
Voici donc...
Wolfgang Amadeus Mozart, Airs, Theresa Stich-Randall, Orchestre de l'Opéra d'État de Vienne, Laszlo Somogyi, 19-21 juin 1963, Mozartsaal du Konzerthaus de Vienne, Westminster WST-17046
01 Don Giovanni, KV 527, scène 13 du 1er acte «Don Ottavio, son morta!»,
No.10 «Or sai chi l’onore» (avec Friedrich D. Graupe, ténor) 06:05
02 Don Giovanni, KV 527, scène 12 du 2e acte «Crudele! Ah no, mio ben»,
No. 23 «Non mi dir, bell’idol mio» 06:53
03 Le nozze di Figaro, KV 492, scène 1 de l'acte 2 «Porgi, amor,
qualche ristoro», No. 11 Cavatina «Porgi, amor qualche ristoro» 03:57
04 Le nozze di Figaro, KV 492, scène 8 du 3e acte «E Susanna non
vien! Sono ansiosa», No. 20 «Dove sono i bei momenti» 06:51
05 Cosi fan tutte, KV 588, scène 11 du 1er acte «Temerari, sortite
fuori di questo loco», No. 14 «Come scoglio immoto resta» 05:42
06 Cosi fan tutte, KV 588, scène 7 du 2e acte «Ei parte…senti!»
No. 25 «Per pietà, ben mio, perdona» 08:46
07 Die Zauberflöte, KV 620, Air no 17 du 1er acte «Ach, ich fühl's,
es ist verschwunden» 04:44
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